La Maison Blanche a été logé un événement diplomatique majeur ce vendredi, où le président Donald Trump a accueilli les ministres des Affaires étrangères de la République démocratique du Congo (RDC) et du Rwanda, suite à la signature d’un accord de paix historique entre les deux nations.
Le président américain a chaleureusement salué cette entente, la qualifiant d’« ouverture d’un nouveau chapitre porteur d’espoir » pour la région des Grands Lacs.
Entouré des chefs de la diplomatie congolaise et rwandaise, il a déclaré avec emphase : « Ce jour marque la fin de la violence et de la destruction. Une nouvelle ère s’ouvre, faite d’espoir, d’opportunités, d’harmonie, de prospérité et surtout de paix. »
Donald Trump a insisté sur la portée de cet engagement, le qualifiant de « merveilleux et historique », et soulignant son importance capitale pour la stabilité et le développement durable de toute la région. Cet accord vise à résoudre les différends par des processus pacifiques plutôt que par les hostilités, et interdit toute forme d’agression ou de soutien à des groupes armés hostiles entre les deux pays.
L’accord de paix, qui comprend des dispositions pour le désengagement des forces et la neutralisation des groupes armés non étatiques comme les FDLR, établit également un Mécanisme Conjoint de Coordination de la Sécurité et un Comité de Surveillance Conjointe pour en assurer la mise en œuvre et le règlement des différends. Il prévoit en outre un cadre d’intégration économique régionale, le retour des réfugiés et des déplacés internes, et le soutien aux efforts multilatéraux comme ceux de la MONUSCO.
La rencontre à la Maison Blanche souligne le soutien international à cet accord, qui promet de transformer les dynamiques régionales et d’apporter une ère de paix et de développement pour les populations de la RDC et du Rwanda.
La Rédaction
