Tribalisation et monnayage des jurys pendant les soutenances à l’Unisic (ex-Ifasic)

La période de soutenance des travaux de fin de cycle ont visiblement révélé le côté sombre et sournois de certains enseignants de l’Université des Sciences de l’Information et de la Communication Unisic, ex-Ifasic. Selon les sources bien renseignées au sein de cet Alma Mater, il y a des enseignants véreux, accusés de clientélisme, du tribalisme et du népotisme dans l’attribution des travaux de fin de cycle aux membres de jurys ayant examiné les étudiants finalistes.

Le vice-doyen du département de la communication appliquée (au premier cycle), Professeur Michel Kitsiakudi, est lui aussi cité par le commun des mortels dans le monnayage des travaux scientifiques à hauteur de 100 dollars américains. Une distorsion des valeurs qui ternie tout de même, la l’image de cette université qui forme des ingénieurs de société dans les domaines de journalisme et de la communication. A côté de cela s’ajoute le népotisme notoire dans la désignation de son frère biologique, Assistant Yannick Kitsiakudi, ressortissant de l‘Université Catholique du Congo (UCC) comme membre dans plus de 100 jurys.

Michel Kitsiakudi s’est illustré dans ces anti-valeurs au mépris des instructions de son titulaire, celles d’attribuer équitablement les services tant aux Professeurs qu’aux Assistants. Il a mis à l’écart le secrétaire facultaire ayant entre autres dans ses attributions, la composition ou le classement des jurys. Et pour légitimer ses actes de compromission, le concerné justifie ce préjudice moral par le facteur « chance ». Comme quoi, ceux qui participent constamment dans des jurys avec des centaines des travaux (clan Kapela), étaient plus chanceux que ceux qui n’ont jamais été alignés ne serait-ce qu’une seule fois.

Selon les estimations, plus de 90% de travaux de fin d’études auraient été attribués au clan Kapela et à son parrain, le professeur Makelele, qui du reste, brille chaque année par son absence quant à la dispensation des cours, revendiquant ainsi la protection face à son supérieur hiérarchique.

A en croire la communauté scientifique de cet alma mater, il est demandé aux secrétaires généraux notamment celui ayant les affaires académiques et celui de la recherche, à mener des enquêtes minutieuses afin d’élucider cette affaire qui risque d’eclabousser le comité de gestion.

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