Célébrée en pompe en France, la journée de réflexion sur le don d’organes est entrain de s’étendre dans plusieurs autres pays pour sensibiliser les consciences à savoir que, chacun où qu’il soit, est potentiel donneur.
Cet exploit commence toujours par un acte de générosité d’une personne qui a accepté que ses organes puissent sauver d’autres personnes après sa mort. « On peut tous avoir besoin d’une greffe un jour. Tous sommes concernés, quelque soit l’âge, estime Merveille MANZINGA étudiante. « je penses qu’offrir son organe pour sauver une vie est une bonne chose mais je suis très choquée par ce phénomène qui prend de plus en plus de l’ampleur. Il y a des personnes que j’appelle criminelles parce qu’elles emputent les organes des autres pour aller les vendre sans leur consentement. C’est vraiment choquant lorsqu’on tu voit une personne ôter la vie à son semblable pour de l’argent ».
Pour Bénédicte DIBA, habitante de Kinshasa, donner son organe est un acte d’amour .
« Je suis convaincu que lorsque l’on pose ce geste ´c’est un acte d’amour parce qu’on partage la douleur de l’autre, on s’expose pour sauver la vie et pour cela, je félicite tous ceux qui ont le courage de pouvoir redonner le sourire à ceux qui sont en manque de tel ou tel autre organe. Je suis par contre très touchée de voir qu’il y en qui s’illustrent dans la vente des organes arrachés aux autres sans leur consentement. Tous ceux qui le font, sont passibles de sanctions sévères ».
Les français sont de plein pieds dans la sensibilisation de l’humanité au don d’organes. Ils incitent chaque être humain ce 22 juin, à réfléchir sur le sujet, mais également à afficher la solidarité et à agir pour la santé.
KLAS