Le tohu-bohu provoqué par le groupuscule de membres du syndicat de l’Université des Sciences de l’Information et de la Communication (UNISIC) ex-IFASIC, n’a pas trouvé gain de cause auprès du personnel prétendument représenté dans la cabale orchestrée contre le comité de cet alma mater.
Dans une déclaration, une grande partie du personnel a désapprouvé la démarche cavalière et incendiaire de leurs collègues voulant à tout prix faire tomber le comité de gestion à travers un mouvement de protestation aussi inefficace.
La partie lésée dénonce l’usage frauduleux par les frondeurs, de la liste des présences de l’assemblée générale tenue le 6 août 2024 (dont ils ignoraient les points inscrits à l’ordre du jour) comme une liste des pétitionnaires censés représenter leurs intérêts.
Le groupe du personnel lésé, dit ne pas être concerné par les mouvements subversifs de la délégation syndicale qui s’en prend à tord au comité de gestion à cause notamment, du recrutement selon eux, d’un nombre excessif des agents, alors que l’effectif actuel, ne représente même pas le nombre d’agents qu’exige le système LMD ( licence,master, doctorat ) et aussi le nouveau statut de l’institution qui est passée de l’institut facultaire à une université.
A ce jour, le salaire dudit personnel a été régularisé et revu à la hausse, voire doublé, et ce, grâce à celui qu’on appelle « le recteur magnifique ». Cette déclaration, sans passer par le dos de la cuillère, fait partie des innovations et réformes apportées par le comité de gestion dirigé de main de maître par le professeur Jean-Richard Kambayi Bwatshia.
La nouvelle salle moderne du département des multimédias qui du reste, n’existait pas par le passé, la dotation de l’Unisic en bancs par le service national, sont entres autres les initiatives à puiser dans le lot des acquis dudit comité.
Il convient de signaler que les signataires de la déclaration ont réitéré leur soutien indéfectible au comité de gestion et à leur recteur, avant de condamner l’acte perpétré nuitamment par les frondeurs, celui de sceller les bureaux des autorités académiques et des auditoires, avant d’annoncer en vain un mouvement de grève dans 24 heures.
De toute évidence, le Professeur Kambayi Bwatshia a toujours été ouvert à l’audit de la part de l’inspection générale des finances de la période allant de 2015 jusqu’aujourd’hui, afin de comparer l’orthodoxie de sa gestion et la politique de prédation qui a été instaurée quelques années avant lui.
Rédaction