En 4 ans de sa redynamisation par le chef de l’Etat Félix Tshisekedi: L’IGF sous la gestion de Jules Alingete a réalisé plusieurs performances

Le bilan de l’Inspection générale des finances (IGF) durant 4 ans depuis sa redynamisation par le Chef de l’État, reste élogieux. Cependant, il est prévisible que les attaques que subit le Chef de service de cette institution fait suite à la peur du gendarme qui ne permet plus aux gestionnaires véreux de persévérer dans la mauvaise gestion.

Au cours de ces 4 ans, l’IGF a enregistré plusieurs performances, sous le leadership de l’équipe dirigée par Jules Alingete. Il s’agit de:

  1. Les recettes budgétaires propres se sont distinguées par une nette performance due essentiellement :
    a. Aux missions d’encadrement et de contrôle (IGF) des Régies Financières de longue durée à travers le territoire national avec notamment comme faits saillants : la suppression des exonérations et exemptions illégales ainsi que d’importants redressements fiscaux ;
    b. À l’encadrement et au contrôle des Etablissements publics ainsi que des entreprises du portefeuille ayant mis en exergue parmi les critères de bonne gouvernance, le paiement par ces derniers des impôts et droits du trésor public aux échéances légales ainsi que l’utilisation efficiente des produits de la parafiscalité gérée par ces organismes ;
    c. À la surveillance du compte général du trésor ;
    d. À la fiscalisation des tous les prestataires et autres fournisseurs bénéficiaires des décaissements du trésor public et des entreprises et établissements publics, ainsi que des provinces ;
  2. Le Budget de l’Etat a connu un net accroissement en 2021, 2022, 2023 et 2024 ;
  3. La gestion des dépenses a donné lieu à une discipline en ce qui concerne le principe de gestion « base caisse » particulièrement depuis la mise en place du suivi du Compte général du trésor ;
  4. On notera également l’implémentation d’une gestion transparente et efficace notamment par l’instauration et l’élaboration obligatoires des outils de gestion prévisionnelle (plan de trésorerie, plan de décaissement, budget annuel, etc) ;
  5. La trésorerie des entreprises et établissements publics s’est améliorée grâce notamment à une économie de dépenses projetées mais non validées par l’IGF de plus de USD 1.600.000.000,00 de juin 2023 à décembre 2023 ;
  6. Les arriérés des salaires ont été apurés dans la quasi-totalité de ces entités et les conflits sociaux et la fréquence des grèves ont cédé le pas à un climat de sérénité ;
  7. La trésorerie des entreprises et établissements publics, ainsi que celle des provinces et des Entités territoriales décentralisées a produit des effets positifs grâce à l’apurement des arriérés des salaires du personnel de ces organismes ;
  8. La mise en accusation des mandataires auteurs des malversations financières a restauré la peur du gendarme dans la gestion de la chose publique ;
  9. La révision du CONTRAT CHINOIS a induit un financement exceptionnel de plus de 7 milliards de dollars destinés à la construction des infrastructures routières et autres ;
  10. Des économies de dépenses ont été réalisées notamment concernant les crédits de TVA à rembourser aux entreprises minières et l’annulation des contrats de production de la carte d’identité nationale ;
  11. Il y a lieu de citer aussi le lancement de grands travaux d’infrastructures sur base des ressources propres de l’Etat, la relance progressive de la croissance économique et la reconquête progressive de la crédibilité internationale de la République Démocratique du Congo en matière de la lutte contre la corruption.

Signons que toutes attaques contre l’animateur principal de l’IGF, Jules Alingete, sont de nature à déstabiliser le contrôle des finances publiques afin de donner un champ libre aux prédateurs.

Rédaction

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