Le débarquement de Normandie, également appelé débarquement en Normandie, ou encore débarquement allié en Normandie, est une opération militaire amphibie et aéroportée alliée de la seconde guerre mondiale lancée dans la nuit du 5 au 6 juin 1944.
Les spécialistes de questions de stratégies le considèrent comme la plus grande opération militaire moderne pour son nombre de troupes, la logistique employée et les stratégies utilisées. Cependant, plusieurs faits pour le moins anodins entourent cette plus grande réussite qui a précipité la défaite du deuxième Reich par l’axe d’alliance sur le front Ouest.
Alors que la guerre battait son plein, les allemands quoiqu’affaiblis au début d’été 1944, l’Axe d’alliance avait paufiné les stratégies pour débarquer sur le sol français qui était un territoire conquis de la Wehrmacht sans négliger aucun détail afin d’épargner la vie de ses soldats et de parvenir à ce succès foudroyant.
Cette opération fut dénommée « overland ». Elle fut entérinée par Roosevelt, Churchill et Staline réunis à Téhéran où ils validèrent aussi un ensemble de mesures de désinformation visant à optimiser les chances de réussite du projet en induisant les Allemands en erreur sur le site choisi pour l’attaque.
La première diversion consiste à larguer dans la nuit du 5 au 6 juin 1944, 500 parachutistes par l’aviation britannique dans le ciel de Normandie. A leur atterrissage, les Allemands répliquent avec une fusillade sans précédent, pourtant il s’agit en réalité des poupées de toile dites « Rupert » remplies de sable ou de paille et équipées de charges explosives pour simuler une attaque. Cette réaction immédiate allemande va mobiliser 1500 soldats au moins juste pour affronter les mannequins des alliés. Cette opération avait pour nom de code « Bodyguard ».
Les allemands étant sûrs du fait que le débarquement s’effectuerait dans le Pas-de-Calais, site stratégique pour sa proximité avec les côtes anglaises. C’est là qu’ils vont d’ailleurs installer leur 15 ème armée, considérée comme la plus importante par les historiens de la guerre.
Les alliés pour confirmer cette théorie, les alliés mettent en place au Sud-est de l’Angleterre ce qui était censé être le Fusag (First United States Army Groupe), soit plusieurs groupes armés dirigés par le général Patton. Il s’agit bien là encore des divisions fantômes. Des tentes sont installées, ainsi que des structures gonflables ou encore des bateaux en caoutchouc, et aussi des infrastructures factices, comme des quais et terminaux pétroliers avec comme objectif de berner les allemands afi qu’ils prennent les photos aériennes et croient à une présence massive de forces alliées juste en face de Pas-de-Calais. Cette intoxication est relayée par les journaux anglais qui parlent même de célébrations des mariages entre les soldats et les femmes de villages environnants.
Les stratégies de diversion en ce moment là sont tellement nombreuses que les forces alliées vont utiliser même les agents doubles en leur donnant des fausses pistes à propos du lieu du débarquement, voir même au point d’impliquer les résistants français porteurs faux renseignements qu’ils transmettaient lorsqu’ils se faisaient torturer par les occupants allemands.
L’axe que constituaient les États-Unis d’Amérique, la Grande-Bretagne et la Russie a usé de bombardements qui ont causé plusieurs dégâts sans parler de morts d’hommes dans le Nord de la France dans son entreprise d’intoxication.
Toutefois, les armées de nos jours (modernes)sont censées avoir plusieurs moyens leur permettant de mettre fin à la guerre, mais aussi s’inspirer de stratégies anciennes ayant connu du succès peut donner un tournant au conflit dans l’Est de la RDC.
Clément Mualaba