Sous l’impulsion de l’Inde et de son représentant permanent à l’assemblée générale des Nations-Unies ASOKE MUKHERJI, la journée mondiale du yoga a été instituée par l’ONU le 11 décembre 2014. Un événement qui devrait être selon ces initiateurs, porteur de paix, de bien-être et d’une santé meilleure dans un idéal de partage et de découverte.
Sur les tapis de yoga, les coachs apprennent aux candidats à cette discipline, le lâcher-prise à libérer l’esprit, à évacuer le stress et à se libérer. Suivant l’histoire, le yoga a plus de 800 ans d’existence. Le thème choisi pour la 10ème célébration de cet événement le 11 décembre prochain est « le yoga pour l’autonomisation des femmes ». Une dédicace à la gente féminine de la part de l’organisation mondiale de la santé qui reconnaît les bienfaits du yoga pour le corps, car il permet de lutter contre le stress et les maladies cardiovasculaires.
Interrogé sur cette discipline d’origine indienne, David-Fidèle LUZOLO KUBANZA, chrétien pratiquant, estime que le monde satanique prend ce qui est inspiré par les écritures pour les déformer.
« Nous devons partir des origines de cette discipline. Si elles sont mauvaises, tous ceux qui s’en suivent, quelqu’en soit la compréhension, sont mauvaises ».
Fidèle LUZOLO KUbanza se réfère à l’histoire de Moise face aux pharaons qui avait transformé le bâton en serpent. Les seigneurs d’egyptes avaient fait pareille comme pour dire selon lui « le monde satanique impose certaines choses inacceptables. Pour pousser quelqu’un à être en forme, il ne faut l’obliger à aller dans un monde parallèle », a-t-il renchéri.
Dieumerci DIAKA, responsable de la plate forme environnementale YEBA Congo, soutient le YOGA entant que discipline sportive et non comme pratique spirituelle. « actuellement, il existe des coach qui entraînent les gens à se relaxer à travers les mouvements, mais il y a des angles spirituels que je condamne par la concentration qui met le pratiquant dans un état où il quitte son corps et voyage. En tout cas je ne peux pas me laisser faire un voyage astral ».
Longtemps associée à un public exclusivement féminin et des seniors, la discipline se démocratise et attire de nombreux pratiquants depuis maintenant plusieurs années.
KLAS